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Communication/Diffusion
Marie-Françoise George
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mariefgeorge@gmail.com
Pour un chœur de dix acteurs
Mise en scène de Justine Wojtyniak

de Tadeusz SLOBODZIANEK
Traduit du polonais par Cécile BOCIANOWSKI

Quatorze leçons pour une histoire, celle de la vie de dix camarades de classe, juifs et catholiques, des bancs de l’école à nos jours. À travers l’histoire tragique du village polonais de Jedwabne, où en 1941, les juifs ont été massacrés par leurs voisins, l’auteur interroge les rapports ténus qui peuvent faire verser de l’amitié à la folie d’un meurtre collectif. Ce poème choral, subtilement mis en musique, rassemble les morts et les vivants et ravive une mémoire tue. Un Kaddish pour les disparus et une alerte pour notre présent. Car c’est aussi une manière de dénoncer les dérives du négationnisme du gouvernement polonais d’aujourd’hui. Comment le fascisme d’hier hante le présent de l’Europe ?

NOTRE CLASSE a reçu en 2010 le prix littéraire le plus prestigieux en Pologne, le prix NIKE et en 2015 l’Aide à la création du CNT. Jouée dans le monde entier, la mise en scène de cette pièce par Justine Wojtyniak sera une première en France.

Entretiens

http://www.journal-laterrasse.fr/notre-classe/

http://ouvertauxpublics.fr/itw-festhiver-justine-wojtyniak-pour-notre-classe/

http://www.akadem.org/magazine/2016-2011/notre-classe-mis-en-scene-par-justine-wojtyniak-04-04-2017-89490_4688.php

Extraits de presse

« Sur le plateau la communauté se décompose et se recompose…
Une fanfare se fait et se défait. Les habits se superposent. Les baluchons se préparent…
Les fantômes des disparus continuent à hanter le plateau. »
Édouard Papierski , La Montagne

« Engagé, innovant et nécessaire »
VAUCLUSE MATIN

« On ne sort pas indemne d’une telle représentation, tant ce texte est fort, profond,  souvent dur, mais aussi empli d’une poésie intemporelle…C’est une parole forte sur la réparation de la mémoire qui la fait résonner avec l’actualité. »
J . Jarmasson – http://projecteurtv.com/

« Notre classe du Polonais Slobodzianek – une manière d’aborder l’histoire et croire en l’humain. »
 LE FIGARO, Armelle Heliot

Chronique de l’antisémitisme ordinaire dans un village de Pologne à l’heure allemande.
« Une chronique qui, sous l’effet de la mise en scène de Justine Wojtyniak, s’élève comme un chant profond. Tragique, douloureux, et cependant toujours porté par une vitalité plus forte que l’horreur du réel repeint, par à-coups, aux couleurs d’un onirisme poétique qui n’est pas sans rappeler le théâtre d’un Kantor. »
LA CROIX, Didier Mereuze

« Installée en France depuis plus de dix ans, la polonaise Justine Wojtyniak met en scène un poème choral qui rassemble les morts et les vivants et ravive une mémoire tue. Un Kaddish pour les disparus et une alerte pour notre présent. Un texte joué dans le monde entier et une première en France. »
« Justine Wojtyniak et son équipe déploient un poème choral cruel et émouvant qui convoque la mémoire juive polonaise. Un monde anéanti qui rappelle à chacun de nous la fragilité de nos communautés humaines. »
LA TERRASSE, Agnès Santi, numéro avril et mai 2017

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Production : Cie Retour d’Ulysse et Cie Planches de Salut (Noves)

Coréalisation : Théâtre Des Halles et Théâtre de l’Épée de bois

Ce texte a reçu l’Aide à la création d’ARTCENACentre National du Théâtre

Avec le soutien d’Arcadi Île-de-France. Avec l’aide de la Spedidam, droit des artistes interprètes, de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et de la Fondation du Judaïsme Français, La ville de Paris, Projet bénéficiant du Fonds d’Insertion pour Jeunes Comédiens de l’ESAD – PSPBB.
Avec soutien de la Maison d’Europe et d’Orient, le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, le CUBE Studio-Théâtre d’Hérisson, Studio Virecourt

Mécènes : Alain ZIEGLER RAND frères, Adi ADIRI Yarden, Marc-Henri AUFFEVE, Marianne COLLIN et nos chers financeurs participatifs